Dernière mise à jour : décembre 2008 |
(*) Renaud de Forez, l’archevêque de Lyon qui régla la crise de l’abbaye en 1220, dans son testament du 16 octobre 1226, lui fait une libéralité princière en léguant cinq cents sous forts pour acheter une terre et célébrer son anniversaire annuel |
(*) D’ailleurs, aucune seigneurie laïque n’est consignée semble-t-il dans les archives de Joug-Dieu. |
(*) au XIII me siècle, le mot servitium couvre les obligations et devoirs dus au suzerain, on parle de « servitium regis » qui couvre essentiellement l’obligation du service de l’ost (l’armée). |
(*) Cette haute justice de Joug-Dieu sur Azolette existait encore en 1749 dans l’acte de vente de la seigneurie à François-Marie Delacroix. |