(*) Ainsi, en 1573, Nicolay géographe du roi Henri II, décrit le massif du Saint Rigaud " comme une montagne toute recouverte de grands bois et de forêts de haute futaie, principalement des faillards (hêtres). Ces bois sont parfois avec des taillis si épais que l’on peut à peine apercevoir un homme qui serait à la distance d’une lance, surtout en été quand les bois sont feuillés (sic). Ainsi on y fait souvent des meurtres d’hommes et des voleries sur le chemin qui est monteux et plein de contours ". (Il s’agit du chemin allant de Beaujeu à Dun, passant par Chenelette, la croix d’Ajoux, Propières et bordant Azolette à l’Est). |
Dernière mise à jour : décembre 2008 |
Chapitre I — L’an mil au pays d’Azolette |
(*) Ces deux domaines sont répertoriés pendant plusieurs siècles au terrier d’Ajoux, Monastère au sommet du Mont Saint Rigaud qui dépend de l’abbaye de Cluny. |
(*) On peut noter que le géographe Nicolay, indique, en 1573, l’existence d’un autre chemin pour conduire des marchandises légères du Beaujolais jusqu’à Paris. Il va de Beaujeu à Monsols par le col de Crie, puis saint Bonnet les Bruyères, la Clayette, jusqu’au port de Digoin sur la Loire et ensuite à Paris. Ce chemin ne pouvait être que muletier gravissant l’énorme rampe du col de Champ juin, donc inutilisable pour le transport du vin Beaujolais. |