(*) Mainmorte : Impossibilité aux serfs de céder, vendre, donner en héritage les biens qu’ils cultivent, la maison qu’ils habitent ni même leurs meubles ou économies. Ils ne peuvent en jouir que pendant leur vie. Tous ces biens appartiennent à toute la famille tant qu’elle existe. Quand elle s’éteint, son domaine revient au seigneur. Pour l’Eglise la mainmorte dura jusqu’au début du XIVème siècle. Le serf ne pouvait se marier qu’avec une personne de sa condition et appartenant à son maître. Il ne pouvait déroger à cette règle qu’avec l’accord du seigneur et après avoir payé un droit ou formariage. |
(*) Ce n’est qu’en 1673 qu’on commence à inscrire les sépultures à Azolette. |
(*) Peut-être un ancêtre des Barjaud, habitants de Ruere et notaires connus au XVIIème siècle. |
(*) Sans doute au centre des Murards où la « maison carrée » fut mairie à la révolution jusqu’à la création de la mairie actuelle, fin du XIXème siècle. |
(*) Pour tous les reconnaissants s’élevant au maximum possible de 29 ans de servis dus. |
(*) En 1346, il y avait environ 100 millions d’habitants en Europe, Afrique du Nord, et Proche Orient. En 1352, un quart d’entre eux avait été emporté par cette grande peste noire venant probablement d’Asie centrale. Cette peste bubonique était une maladie bactérienne véhiculée par les puces des rats. Le corps se couvrait de taches noires, puis des ganglions (bubons) apparaissaient aux aisselles, au cou ou à l’aine. |
(*) Sur le terrier de 1531 de Joug Dieu, nous trouvons pour la première fois le montant des rentes et servis dus à l’abbé de Joug Dieu, seigneur d’azolette chaque année : - pour les chaulmont : 740 deniers Tournois - pour les garnier ::788 deniers Tournois - pour les murards avec les Depuis : 670 deniers Tournois Soit pour chacun une moyenne d’environ trois livres d’imposition. |