Zone de Texte: Histoire d’Orthographie 
Dans les premiers documents familiaux, au tout début du 17 me siècle, à l’acquisition des terrains sur Régnié, par Philippe Delacroix, père de Pierre, installé le premier en Azolette en 1657, son nom est écrit en un seul mot.
En 1749, François Marie, petit-fils de Pierre, acquit et obtint du roi Louis XV, la seigneurie d’Azolette. A partir de cette date, il pouvait signer : DELACROIX, Seigneur d’Azolette, ou plus simplement DELACROIX D’AZOLETTE. Ainsi, son petit fils, l’archevêque Nicolas Augustin signait :
Delacroix d’Azolette.
A la révolution, une branche des Delacroix (originaire comme nous des Essarts aux Ardillats, au dessus de Beaujeu, sous le col de Crie) demeurant à Monsols, par crainte des révolutionnaires se fit appeler Lacroix. Actuellement, il existe encore des descendants.
En 1815, sa Majesté Louis XVIII décora du titre de « Noble » Jean-Marie II, frère de l’archevêque, pour services et dévouement à sa personne en le nommant : écuyer.
Ses lettres de noblesse lui furent accordées en tant que Chevalier Sieur de la Croix (en trois mots) d’Azolette, ainsi qu’à ses enfants et postérité.
Aussi, de 1816 à 1914 (décès d’Augustine, épouse de Théodore Perroy et dernière descendante), toute la postérité du Chevalier Jean-Marie II pouvait s’orthographier :
De la Croix d’Azolette
Telle est l’authenticité du nom des ancêtres et son orthographie suivant l’époque.
Une certaine « coquetterie nobiliaire »justifia d’en anticiper l’orthographe, nous respectons cette fantaisie que l’on découvrira sans raison particulière à l’intérieur de ce site.